FAQ

C’est possible que tu sois le ou la seule à être victime au sein de ton groupe et cela ne rend pas la situation moins grave. Il ne faut surtout pas croire que c’est ta faute puisque personne ne demande à être victime d’intimidation, d’abus ou de harcèlement. Tu n’as donc pas à endurer une telle situation, même si tu crois en être la seule victime. De plus, il n’est pas rare que l’on croit être le ou la seul·e à vivre une telle situation, alors qu’en réalité plusieurs peuvent aussi avoir été victimes de comportements de la sorte à d’autres occasions ou à différents degrés de gravité et n’osent pas dénoncer leur situation.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, ton instructeur·trice, ton animateur·trice, tes parents, un·e ami·e, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations sportives, de plein air et de loisir. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Tu n’as pas à les tolérer s’ils se produisent une première fois, encore moins si ces comportements se répètent régulièrement. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence physique.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, un·e ami·e, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s . L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations sportives, de loisir et de plein air. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence physique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement criminel de la part du/de la coéquipier·ère en question. Il existe aussi de l’aide pour savoir comment réagir et faire retirer des photos des principaux réseaux sociaux.

Non, même s’il·elle·s sont tes coéquipier·ère·s ou des participant·e·s, ce type de comportement à ton endroit est considéré comme du harcèlement sexuel. Tu n’as pas à les subir.

Agir

Il existe plusieurs pistes de solution pour faire cesser ce type de situation. Tu peux commencer par t’affirmer auprès de tes coéquipier·ère·s ou participant·e·s en leur exigeant de cesser ce comportement envers toi. Tu peux également en parler à un·e entraîneur·e, un·e animateur·trice, un·e instructrice ou tout autre adulte de confiance pour ne pas rester seul·e avec cette situation et pour que quelqu'un intervienne pour la faire cesser. Tu peux aussi porter plainte officiellement à l’Officier des plaintes, qui pourra t’offrir du soutien et prendra les mesures nécessaires pour faire cesser la situation selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Tu n’as pas à les tolérer s’ils se produisent une première fois, encore moins si ces comportements se répètent régulièrement. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence psychologique.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, tes parents ou des coéquipier·ère·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des clubs sportifs. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Il arrive que nous nous entendions moins bien avec certain·e·s coéquipier·ère·s ou participant·e·s. Nous ne sommes pas obligé·e·s d’être tous·te·s les meilleur·e·s ami·e·s du monde. Cependant, le fait d’isoler, d’exclure ou même d’ignorer quelqu’un intentionnellement est inacceptable. De tels comportements sont considérés comme de la violence psychologique, surtout si ce sont des comportements qui se répètent régulièrement.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, un·e ami·e, des coéquipier·ère·s ou participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des clubs et organisations de sport, de loisir et de plein air. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Autrement, il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non, des comportements à connotation sexuelle qui ont souvent comme but de blesser et d’importuner une personne tout en créant un climat d’humiliation, d’hostilité ou d’intimidation, sont des exemples de violence sexuelle qui s’inscrivent dans une dynamique de harcèlement sexuel.

Agir

Il existe plusieurs pistes de solution pour faire cesser ce type de situation. Tu peux commencer par t’affirmer auprès de tes coéquipier·ère·s ou participant·e·s en leur exigeant de cesser ce type de comportement envers toi. Tu peux également en parler à un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, bénévole ou tout autre adulte de confiance pour ne pas rester seul·e avec cette situation et qu'ils·elles interviennent pour faire cesser la situation. Tu peux aussi porter plainte officiellement à l’Officier des plaintes qui pourra aussi t’offrir du soutien et perdra les mesures nécessaires pour faire cesser la situation selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement criminel de la part du ou des coéquipier·ère·s ou participant·e·s en question. Il existe aussi de l’aide pour savoir comment réagir et faire retirer des photos des principaux réseaux sociaux

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait une agression sexuelle envers toi.

À noter que le consentement pour toute relation intime ou sexuelle entre un·e personne mineur·e ou majeur·e et son entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice majeure ne sera jamais valide, peu importe la différence d’âge entre les deux, en raison de la position d’autorité que donne le rôle d’entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’on parle ici d’un comportement possiblement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait un abus sexuel, par le simple fait de te le proposer.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement criminel de la part de l’entraîneur·e en question.

Non, un comportement de la sorte constitue une forme de violence sexuelle. Dû à sa position d’autorité que lui donne son titre d’entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, cette situation est associée à un abus sexuel. Si tu vis une situation de la sorte, il est important de ne pas rester seul·e avec cela. Sache que ce n’est jamais ta faute si tu es victime d’abus sexuel.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement possiblement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait un abus sexuel, même si cela se produit en dehors des lieux ou des heures habituelles de la pratique de ton activité sportive, de loisir ou de plein air.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e à porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’on parle ici d’un comportement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait un abus sexuel envers toi, par le simple fait de te le proposer.

D’ailleurs, savais-tu qu’un geste à caractère sexuel de la sorte, même s’il n’y a aucun contact physique, peut être considéré comme une agression sexuelle ? En effet, tout acte visant à soumettre une autre personne à ses propres désirs par un abus de pouvoir, l’utilisation de la force, la contrainte ou sous la menace implicite/explicite est considéré comme un geste criminel.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’on parle ici d’un comportement criminel de la part de l’entraîneur·e, de l'animateur·trice ou de l'instructeur·trice en question.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait un abus sexuel envers toi, par le simple fait de te le proposer.

D’ailleurs, savais-tu qu’un geste à caractère sexuel de la sorte, même s’il n’y a aucun contact physique, peut être considéré comme une agression sexuelle ? En effet, tout acte visant à soumettre une autre personne à ses propres désirs par un abus de pouvoir, par l’utilisation de la force, la contrainte ou sous la menace quelle soit implicite ou explicite est considéré comme un geste criminel.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’on parle ici d’un comportement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non. Ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice devrait toujours guider l’enseignement des techniques selon tes capacités et ton niveau de développement. Il·elle ne devrait jamais t’imposer une pression d’exécuter et de maîtriser des techniques ou des mouvements qui peuvent avoir un impact négatif sur ta santé ou qui mettent ta sécurité physique en danger.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte ferait du harcèlement sexuel. Cette forme de violence sexuelle est inacceptable, même si elle est faite sous forme de blagues, de compliments ou autres.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte ferait du harcèlement sexuel. Cette forme de violence sexuelle est inacceptable, même si elle est faite sous forme de blagues, de compliments ou autres.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Un·e entraîneur·e ne devrait jamais t’exposer à une situation de la sorte. Souvent, ce type de comportement s’inscrit dans une stratégie pour désensibiliser une personne mineure à la sexualité, pour faciliter les abus sexuels éventuels. Le simple fait de t’exposer à un visionnement, un film ou des images sexuellement explicites est une forme de violence sexuelle.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement criminel de la part de l’entraîneur·e, de l'animateur·trice ou de l'instructeur·trice en question.

Non. Comme dans toutes autres situations de la vie courante, PERSONNE ne peut te forcer à avoir une relation ou des activités sexuelles non désirées puisqu’il s’agit d’une agression sexuelle.

À noter que le consentement pour toute relation intime entre une personne mineure et une personne majeure ne sera jamais valide, peu importe la différence d’âge entre les deux en raison de la position d’autorité que donne le rôle de la personne majeure (p. ex. entraîneur·e, instructeur·trice, animateur·trice)

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e à porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’on parle ici d’un comportement possiblement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non. Ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait jamais t’obliger ou te forcer à participer, t’entraîner ou à compétitionner malgré une blessure et ce, peu importe sa gravité.

Dans un tel cas, il·elle exercerait de l’abus physique. Il est à noter qu’il·elle ne devrait pas non plus te faire sentir coupable ou commencer à agir autrement avec toi parce que tu décides de ne pas participer, t’entraîner, compétitionner ou poursuivre tes activités si tu as une blessure.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

Non. Un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait jamais t’exposer à une situation de la sorte. Souvent, ce type de comportement s’inscrit dans une stratégie pour désensibiliser une personne mineure à la sexualité, pour faciliter les abus sexuels éventuels. Le simple fait de te partager ses expériences ou sa vie sexuelle est une forme de violence sexuelle qui est inacceptable.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non, ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait jamais te pincer de façon volontaire. Ce comportement, s’il se produit volontairement, est considéré comme de l’abus physique.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

Non, en aucun cas ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice peut te secouer, te pousser ou te frapper. S’il·elle effectue de tels gestes envers toi, il·elle exerce de l’abus physique.

Agir

Tu dois nommer la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait un abus sexuel envers toi, par le simple fait de te le proposer.

D’ailleurs, savais-tu qu’un geste à caractère sexuel de la sorte, même s’il n’y a aucun contact physique, peut être considéré comme une agression sexuelle ? En effet, tout acte visant à soumettre une autre personne à ses propres désirs par un abus de pouvoir, par l’utilisation de la force/contrainte ou sous la menace qu’elle soit implicite ou explicite est considéré comme un geste criminel.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement possiblement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non, ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait jamais te retenir de force en serrant ton bras ou une autre partie de ton corps. Ce comportement, s’il se produit, est considéré comme de l’abus physique.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait pas agir de la sorte de par son rôle de professionnel en position d’autorité. Le consentement pour toute relation intime entre un·e personne mineur·e et son entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice majeur·e ne sera jamais valide, peu importe la différence d’âge entre les deux, en raison de cette position d’autorité.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

C’est une question qui mérite d’être contextualisée. Nous savons que, dans certaines activités sportives, de loisir ou de plein air, par exemple, le toucher peut être bénéfique au développement de compétences techniques ou pour vérifier des blessures. Cependant, ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice devrait toujours s’assurer que tu es confortable avec le fait qu’il·elle doit, par exemple, toucher ton bras pour te montrer comment lancer ou qu’il·elle touche ton pied pour voir si tu es blessé à la cheville. Si tu n’es pas confortable, tu dois lui dire et il·elle doit respecter ton choix. Maintenant, tout autre toucher qu’il·elle pourrait faire avec une intention autre que pédagogique, comme le toucher sexuel, est inacceptable. De tels comportements sont considérés comme de l’abus sexuel et ce sont des comportements criminels.

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Il est important que tu reconnaisses si c’est une situation qui nécessite que ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice te touche afin de t’enseigner une technique ou vérifier une blessure. Même s'il s'agit d'une situation qui nécessite un toucher, mais que tu n’es pas confortable à ce que ce soit ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui le fasse, tu dois lui dire et il·elle doit respecter ta décision. Si ce sont des touchers à caractère sexuel, tu dois absolument le dire à une personne de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement possiblement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait une agression sexuelle envers toi.

À noter que le consentement pour toute relation intime entre une personne mineure et une personne majeure ne sera jamais valide, peu importe la différence d’âge entre les deux, en raison de la position d’autorité que donne le rôle d’entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement possiblement criminel de la part de l’entraîneur·e en question.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·e ou animateur·e qui agirait de la sorte exercerait un contrôle excessif envers toi. Il s’agit d’une forme de violence psychologique que tu n’as pas à subir.

Agir

Tu pourrais porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la Politique de protection de l’intégrité.

Non, un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice qui agirait de la sorte commettrait du harcèlement sexuel envers toi. Dû à sa position d’autorité que lui donne son titre d’entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, on peut associer cette situation à un abus sexuel. Si tu vis une situation de la sorte, il est important de ne pas rester seul·e avec le tout. Sache que ce n’est jamais ta faute si tu es victime d’abus sexuel.

Agir

Si une telle situation se produit, il est important d’en parler avec un adulte de confiance. Tu pourras ainsi être accompagné·e pour porter plainte à l’Officier des plaintes ou à la police puisqu’il s'agit d’un comportement possiblement criminel de la part de l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice en question.

Il est normal qu’un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice exige un certain niveau d’intensité de ta part lors des entraînements, de tes compétitions ou toutes autres activités de loisir et de plein air. Cependant, s’il·elle t’inflige des activités supplémentaires dans le but de te punir, ce qui mène à ton épuisement, à te rendre malade ou que cela nuise d’une quelconque façon à ta santé physique ou psychologique, il s’agit d’un comportement considéré comme de l’abus physique.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

Ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice peut te conseiller sur ton alimentation et sur la gestion de ton poids si il·elle a les compétences nécessaires et si cela fait partie d’une composante majeure de la discipline ou de l’activité dans laquelle tu évolues, comme les sports de combat où tu dois respecter une catégorie de poids. De plus, il·elle peut t’accompagner et te guider lorsque c’est toi qui se fixe l’objectif de gagner du poids ou de la masse musculaire ou, au contraire, d’en perdre. Cependant, ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait jamais te mettre de la pression à gagner ou à perdre du poids si ce n’est pas ce que tu souhaites. De tels comportements sont considérés comme de l’abus psychologique.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

Non. Premièrement, la consommation de substances illicites est interdite dans le sport. Si tu es testé·e positif·ive au dopage, tu pourrais avoir une grande suspension. Ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne peut, en aucun cas, te conseiller ou t’obliger à prendre de telles substances qui ont pour objectif d’améliorer tes performances. Il en va de même avec les BCAAs, la créatine, la caséine, les pré-workout ou tout autre supplément qui ne sont pas nécessairement des produits dopants. Un·e entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice peut te conseiller à ce sujet, mais il·elle ne peut jamais t’obliger à en consommer.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

La pratique de ton activité de sport, de loisir ou de plein air doit toujours se faire de façon volontaire. Personne ne peut t’obliger à faire quoi que ce soit. Bien entendu, il serait légitime de savoir les raisons qui te poussent à manquer des activités ou entraînements, mais si les raisons sont valables, tu ne devrais pas être pénalisé·e pour cette absence.

Agir

Si malgré le fait d’avoir averti ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice de ton absence pour des raisons valables, il·elle t’oblige de venir à ton entraînement sous menace d’être puni·e, nous t’encourageons à en parler avec tes parents et il serait possible de porter plainte à ton organisation locale ou à l’Officier des plaintes.

Ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice peut te conseiller sur ton alimentation et sur la gestion de ton poids si il·elle a les compétences et si cela fait partie d’une composante majeure de la discipline dans laquelle tu évolues, comme les sports de combat où tu dois respecter une catégorie de poids. De plus, il·elle peut t’accompagner et te guider lorsque c’est toi qui se fixe l’objectif de gagner du poids ou de la masse musculaire ou, au contraire, d’en perdre. Cependant, ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice ne devrait jamais se moquer de ton poids, tenir des propos dégradants ou toujours te mettre de la pression à gagner ou à perdre du poids si ce n’est pas ce que tu souhaites. De tels comportements sont considérés comme de l’abus psychologique.

Agir

Tu pourrais partager la situation à une personne de confiance, porter plainte à ton organisation locale ou porter plainte directement à l’Officier des plaintes selon la politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Tu n’as pas à les tolérer s’ils se produisent une première fois, encore moins si ces comportements se répètent régulièrement. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence psychologique.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s. des coéquipier·ière·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations de sport, de loisir et de plein air, des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Autrement, il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Tu n’as pas à les tolérer s’ils se produisent une première fois, encore moins si ces comportements se répètent régulièrement. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence sexuelle.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des clubs sportifs. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence sexuelle est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Tu n’as pas à les tolérer s’ils se produisent une première fois, encore moins si ces comportements se répètent régulièrement. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence psychologique.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations de sport, de loisir et de plein air. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Le racisme, le sexisme, l’homophobie et la transphobie sont des comportements graves et inacceptables. En effet, ces exemples de comportements sont également considérés comme de la violence psychologique.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·e ou animateur·e, tes parents ou des coéquipier·ère·s, ou toute autre personne qui n’est pas nécessairement dans l’entourage immédiat de ton contexte de sport, de loisir ou de plein air. L’important est de pouvoir, le plus rapidement possible, l’exprimer à quelqu’un qui pourra par la suite t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans les clubs sportifs. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Le mot clé dans cette question est “intentionnellement”. Nous savons que, dans la pratique de certaines disciplines sportives, de loisir et de plein air, il arrive que le jeu nécessite, par accident, des accrochages, des bousculades ou de faire trébucher l’adversaire ou un·e autre participant·e. C’est alors à ceux et celles qui encadrent la pratique d’intervenir (p.ex. juges, officiel·le·s, arbitre·s, évaluateur·trice·s).

Cependant, si un ou des coéquipier·ère·s ou participant·e·s ont de tels comportements envers toi alors qu’il y a une intention derrière ces gestes, comme vouloir t’intimider ou te faire mal, c’est de la violence physique et c’est inacceptable.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations de sport, de loisir et de plein air. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Autrement, il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence physique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Tu n’as pas à les tolérer s’ils se produisent une première fois, encore moins si ces comportements se répètent régulièrement. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence psychologique.

Agir

Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations de sport, de loisir et de plein air. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Il est important que tu écoutes la manière dont tu te sens lorsque le·la coéquipier·ère ou participant·e te regarde ainsi. Si tu ne te sens pas bien, que tu as peur ou que tu te sens intimidé·e, tu n’as pas à te poser plus de questions. En effet, ces exemples de comportements sont considérés comme de la violence psychologique, surtout si ce sont des comportements qui se répètent régulièrement.

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Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Des règlements et des codes d’éthique sont implantés dans la majorité des organisations de sport, de loisir et de plein air. Des mesures sont donc instaurées afin d’intervenir lors de tels écarts de conduite. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Non. Aucune situation ne peut justifier de tels comportements. Lorsque des mensonges, des rumeurs ou toute autre fausse information sont propagés à ton égard, c’est considéré comme une atteinte à ta réputation. Il s’agit donc de comportements répréhensibles, qui font partie de ce qu’on appelle la violence psychologique.

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Si une telle situation se présente, nous t’invitons à la partager à toute personne en qui tu as confiance. Ce peut être ton entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice, tes parents, tes proches, tes ami·e·s, des coéquipier·ère·s ou d'autres participant·e·s. L’important est de pouvoir l’exprimer à quelqu’un qui pourra t’aider à régler cette situation. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque la violence psychologique est couverte par la Politique de protection de l’intégrité.

Oui, les entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice sont tenu·e·s d’offrir un environnement sain et sécuritaire et ce, à tous·tes les participant·e·s. Il est de leur devoir, conformément à leur code de conduite, de « S’assurer que chacun·e soit traité·e avec respect et équité. […] et veiller à ce que les participant·e·s comprennent que l’abus, le harcèlement, la négligence, la violence ou tout comportement inapproprié ne sont en aucun cas tolérés et favoriser parmi les participant·e·s l’habitude de divulguer et de signaler de tels comportements ».

Une fois que l’entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice a été témoin ou mis·e au courant des tels comportements, il·elle est aussi tenu·e de prendre les moyens nécessaires afin de faire cesser la situation.

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Il est important d’informer l'entraîneur·e, instructeur·trice ou animateur·trice de la situation pour qu’il·elle puisse convenir avec toi des mesures à mettre en place pour faire cesser la dynamique d’intimidation. Il est également possible de porter plainte à l’Officier des plaintes puisque l’intimidation fait partie de la violence psychologique couverte par la Politique de protection de l’intégrité.