
« Mise sur ce que tu as à offrir : tes talents, ta personnalité… C’est ça qui est important! »
Kim Gingras a su faire connaître son nom au Québec lors de son passage dans la deuxième saison de So You Think You Can Dance en 2009. Après plusieurs années dans l’industrie artistique québécoise, la danseuse professionnelle plie bagage pour poursuivre sa carrière à Los Angeles, aux États-Unis. À ce jour, la danseuse est connue pour avoir travaillé avec de grands chanteurs tels que Beyoncé, Justin Timberlake, Madonna et bien d’autres. Elle partage maintenant sa vie entre Montréal et Los Angeles. En 2020, elle a d’ailleurs lancé son propre programme virtuel de mentorat où elle accompagne des danseurs dans le développement de leur carrière et révèle les réalités associées à l’industrie.
En tête à tête, la danseuse parle principalement de son partenariat avec ÉquiLibre lors de la semaine « Le poids? Sans commentaire! », l’hypersexualisation associée à l’industrie de la danse ainsi que la pratique de sport à tendance esthétique.
« Quand tu es par terre, est-ce qu’il y a un ami, quelqu’un dans ta famille, qui est là pour te dire : “Lève-toi, ce n’est pas personnel! Continu!” ? »
Il est maintenant possible d’écouter le balado « Tête à tête Sport’Aide » sur toutes les plateformes de diffusion, sur BaladoQuébec et sur YouTube!
Mentionnons en terminant que ce balado a vu le jour afin de mieux rejoindre le grand public. Sport’Aide a décidé d’exposer la réalité des milieux sportifs à l’aide d’une grande diversité d’invités, passant des athlètes et des entraîneurs aux officiels et aux administrateurs, qui aborderont une variété d’enjeux! Sous forme de conversation, les épisodes hebdomadaires permettront d’évoquer des sujets délicats qui méritent l’attention des différents acteurs du monde sportif, et ce, pour promouvoir une pratique sportive saine et sécuritaire au Québec.
« Je me rappelle, dans ces premières auditions-là, je suis placée entre deux belles filles et je me dis : “Ah! Je ne suis pas assez grande… Wow! Regarde ces jambes!” […] Je me descends moi-même, et pourtant, je mérite d’être là! »